Avène annonce un partenariat sans précédent avec la Confédération brésilienne de voile axé sur le développement durable

L’action inaugurale aura lieu lors de la 52ème édition de la Coupe du Monde Jeunesse à Búzios entre le 8 et le 16 décembre

Avène, marque du Groupe Pierre Fabre et leader de la dermocosmétique reconnue pour ses produits de soins et de traitement pour tous types de peau, annonce un partenariat pionnier au Brésil avec la Confédération Brésilienne de Voile (CBVela). CBVela est l’organisation nationale qui regroupe les entités qui réglementent les sports de voile, notamment le kitesurf, la planche à voile, le WIngsurfe et l’IQ-Foil. La ligne de protection solaire d’Avène sera la principale du partenariat, pour sa synergie avec les sports de plein air, et pour les problématiques liées aux filtres de protection durable, développés par la marque.

« Chez Avène, nous cherchons à nous associer à des personnes et des marques qui ont du sens et qui œuvrent pour l’environnement, cette rencontre avec CBVela était donc naturelle. Nous voulons contribuer à diffuser le message et la pratique de la durabilité », souligne Flavianne Baptista, directrice marketing chez Pierre Fabre Brasil.

Avène et le soin des océans

Au cœur de l’engagement d’Eau Thermale Avène en faveur du développement durable se trouve le projet Skin Protect Ocean Respect, initié mondialement par la marque en 2015. Cette action pilote le développement de crèmes solaires avec deux piliers essentiels : assurer un soin maximal de la peau et minimiser l’impact environnemental. Les produits de la gamme solaire Avène sont formulés avec seulement quatre filtres organiques et chimiques, ainsi que des formules non toxiques et hautement biodégradables, soigneusement testées pour minimiser l’impact sur les océans, avec l’absence de silicone et de filtres hydrosolubles.

En plus d’offrir la meilleure protection solaire à la peau, l’entreprise cherche à minimiser l’impact environnemental de ses produits à travers des actions telles que le Pur Project, le partenariat de la marque à Bali, qui a déjà récupéré plus de dix mille coraux, replanté six mille mangroves et collecté plus de 43 tonnes de déchets.

Actuellement, selon les données de Cruz Verde, environ 25 000 tonnes de crème solaire sont déversées chaque année dans les océans, soit 1 litre par seconde. Il suffit ainsi de nager 20 minutes pour que 25 % des composants d’une crème solaire soient rejetés dans l’eau de mer. On estime ainsi qu’environ 10 % des coraux de la planète sont directement affectés par les filtres UV.

CBVela et prendre soin de ses principales matières premières : l’eau et l’air !

CBVela s’engage en faveur de l’Agenda 2030 des Nations Unies et des 17 objectifs de développement durable (ODD), intégrant le sport de la voile aux enjeux environnementaux, sociaux et économiques. La confédération sensibilise régulièrement à ces sujets.

« Avène et CBVela parlent le même langage, à la fois dans le soutien aux sports de plein air, à la protection et à la santé, et dans le souci de l’environnement. La confédération a atteint le statut de pionnière en devenant la première confédération sportive brésilienne à faire partie du réseau Brésil du Pacte mondial des Nations Unies, intégrant pleinement l’Agenda 2030 dans sa planification stratégique ».

« Et Avène, parmi d’innombrables actions environnementales, s’engage dans la régénération des écosystèmes marins », a expliqué Marco Aurélio de Sá Ribeiro, président de CBVela. L’action inaugurale du partenariat entre Avène et CBVela aura lieu lors de la 52ème édition de la Coupe du Monde Jeunesse, à Búzios, entre le 8 et le 16 décembre. Ce championnat s’inscrit également dans le cadre du mouvement du gouvernement de l’État de Rio de Janeiro, Agenda Rio 2030 – Il est temps d’agir, qui mobilise la société pour atteindre les 17 ODD.

Importance de protéger les océans

Les océans couvrent les deux tiers de notre planète et abritent une riche source de vie – essentielle à la régulation de la teneur en oxygène et en dioxyde de carbone de l’atmosphère que nous respirons – qui est menacée par la pollution d’origine industrielle et terrestre. En ce sens, l’industrie cosmétique est de plus en plus consciente de l’impact des crèmes solaires sur l’écosystème marin et recherche des solutions durables pour y remédier.